dimanche 22 juin 2008

Bonjour tristesse, Françoise Sagan

Passé l'éblouissement devant cette jeunesse virtuose, enfermée par son talent dans une triste solitude qui se rêvera légère, on est reconnaissant à l'auteur de ces pages détachées, élégantes et faussement paresseuses.

Par ailleurs, nous saurons gré de cette leçon que l'emportement n'est pas la meilleure réponse aux pires bêtises; sachons plutôt, en les ignorant, leur accorder l'importance qu'elles méritent.

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